Parce qu’au Manala Club, on n’a pas peur de se salir les mains (faut-il encore vous en faire la preuve ?) et encore plus en pleine psychose du virus H1N1, on aime beaucoup le principe de ce
Dirt Poster par ROLAND REINER TIANGCO et on avoue qu’on aurait bien aimé avoir cette idée qui nous rappelle, non sans quelque nostalgie, nos cahiers de coloriage magiques de nos 4 ans.
La poésie au bout des doigts, en quelque sorte.

The Dirt Poster (avant)

The Dirt Poster (après)
Comme une piqûre de rappel.
Flash back : un frisson de liberté, une transgression au goût si unique que ce moment où l’on sauta à pieds joints dans les flaques d’eau, jouant à se crotter. Ou encore lorsque l’on prenait un malin plaisir à barbouiller la feuille blanche de peinture à l’eau et le reste aussi.
Acte assumé, une provocation à l’autorité parentale d’alors.
Et aujourd’hui, qui défions-nous ? Qui nous disputera de rentrer cradingue ?
Le Manala Club n’a qu’une envie : faire des taches qui ne partent pas au lavage !
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